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Tous nos articles sur la filière porcine

La préoccupation première porte sur la biosécurité externe : c’est-à-dire garder les agents vecteurs de maladie à l’extérieur de l’exploitation et les empêcher de s’introduire dans d’autres fermes. La biosécurité interne consiste à contenir la propagation de la maladie à l’intérieur de l’exploitation ou du système de production; il s’agit d’un volet important qui est géré à l’échelle de la ferme individuelle. Finalement, le bioconfinement prévient la propagation des agents pathogènes à d’autres populations ou animaux.

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Les producteurs ont à cœur de bien soigner leurs animaux. Les producteurs de porcs ont recours à de rigoureuses pratiques de gestion à la ferme dans le but de prévenir les maladies chez leurs porcs. Il arrive cependant qu’ils aient besoin de leur administrer des antimicrobiens comme des antibiotiques afin de prévenir ou traiter des infections et d’autres maladies causées par des bactéries, de même que pour empêcher que le reste du troupeau soit contaminé. Il est donc nécessaire, pour assurer le bien-être de leurs animaux, qu’ils aient accès à des produits pharmaceutiques vétérinaires qui sont efficaces. 

Les producteurs comprennent qu’une utilisation prudente des antimicrobiens est déterminante pour atténuer l’apparition de résistance aux antimicrobiens. Dans leur engagement à utiliser les antimicrobiens de manière responsable, les producteurs soutiennent les modifications réglementaires de Santé Canada qui visent à renforcer la supervision des médicaments vétérinaires. 

La politique du CCP sur l’utilisation des médicaments offre aux producteurs de porcs divers outils leur permettant d’utiliser judicieusement les antimicrobiens auprès de leurs animaux tout en assurant la salubrité des aliments produits. Ainsi, les porcs à qui on a administré des antibiotiques ne seront pas expédiés à l’abattoir avant que tout résidu du médicament soit évacué de leur organisme.

Par l’intermédiaire d’un partenariat entre les organisations provinciales et Swine Innovation Porc, les producteurs de porcs soutiennent la recherche et le développement des nouvelles technologies.

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Le porc Duroc se distingue de ses congénères par son pelage rouge, un corps allongé, des membres forts et des oreilles tombantes. Cette race est intéressante pour compléter les atouts d’autres races porcines.

La race Duroc est réputée dans le monde entier pour sa chair tendre et juteuse qui fait, cette fois, l’unanimité. Sa saveur s’explique par une teneur en graisse intramusculaire plus élevée que dans les autres races.

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Le mot «Naïma», signifie mère nourricière en chinois. C’est une excellente mère. «Les truies Naïma s’occupent très bien de leurs petits. Elles sont calmes, ne tournent pas en rond dans les cabanes comme les autres. Il y a donc très peu de risques d’écrasement de porcelets»

La race Naïma est issue d’un croisement entre des races traditionnelles européennes et des races asiatiques qui ont la grande qualité d’être très maternelles. Elle offre plusieurs caractéristiques : la capacité de produire 12 à 13 porcelets par mise-bas, une carrière exceptionnelle avec plus de 75 porcelets sevrés soit 06 portées en moyenne par truie, un meilleur confort de travail avec la conduite facile, des mises-bas rapides et sans intervention, des porcelets vigoureux

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Il faut savoir qu’au Cameroun de nos jours, plus de 80% des porcs élevés au sont hybrides, issus de divers croisements entre les races locales et des races améliorées.

Cependant, les métissages et croisements ne sont pas si nombreux. Face à la demande actuelle, certaines races sont privilégiées parce que les croisements assez performants entre races porcines européennes et porcs locaux permettent d’améliorer les performances de croissance et de prolificité, de bénéficier de la souplesse alimentaire des porcs locaux (bonne tolérance aux aliments volumineux et pauvres).

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On trouve dans le commerce des mélanges adaptés, mais vous pouvez aussi réaliser vous même une “pâtée” à base de biscotte ou pain écrasé, œufs durs cuits émiettés, des végétaux hachés finement comme des orties ou des feuilles de laitues, semoule cuite.
Le mélange doit être très fin les 10 premiers jours, puis devenir plus grossier et contenir des aliments plus variés, comme des restes de repas. Ils auront bien sûr toujours à disposition de l’eau fraîche et du sable qui leur permet de broyer leur nourriture mais aussi de limiter l’apparition des coccidies, parasites qui sont une importante cause de mortalité chez les poussins.

Les premiers jours, leur nourriture doit être facilement repérée et accessible par les poussins, vous pouvez même la mettre par terre, sur un papier journal par exemple. Par la suite, vous la placerez dans un contenant adapté à leur taille mais pas au sol.

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